A partir de 1992, quand les membres du Comité purent se rendre facilement en UKRAINE, il apparut très vite que l’urgence n’était pas que notre histoire ait été falsifiée si longtemps : en 1986 , TCHERNOBYL ( croisant sur le calendrier le souvenir des victimes d’Arménie ) avait laissé des séquelles physiques et morales, qui ne peuvent pas être encore « quantifiées » et « prévisibles » à ce jour.
Le COMITÉ fut « entraîné » dans un vaste mouvement d’AIDE dans lequel on vit de TOUT : du (...)